Augsbourg, 1935.
Le bonheur semble enfin de retour à la villa aux étoffes : l’usine textile des Melzer a surmonté la crise économique et les enfants de Marie et Paul quittent peu à peu le nid. Mais l’idéologie nazie qui se propage dans le pays vient mettre en péril le fragile équilibre que la famille Melzer a mis tant de temps à trouver.
Quand des rumeurs sur son origine juive se répandent en ville, Marie est contrainte de céder son prospère atelier de couture. Quant à Paul, il n’arrive plus à dormir sous la pression constante de ses amis qui lui conseillent de divorcer d’urgence.
Pour protéger ses proches, Marie doit prendre une décision douloureuse, mais nécessaire, qui bouleversera la vie de tous pour toujours...
Au cœur des heures les plus sombres de l’histoire allemande, raison et passion se heurtent à l’impitoyable réalité dans ce nouveau tome captivant, digne de Downton Abbey.
« UN ROMAN HISTORIQUE QUI SAISIT MAGNIFIQUEMENT L’ESPRIT DE CE DÉBUT DE XXe SIÈCLE. » - Fränkische Nachrichten
Anne Jacobs écrit sous pseudonyme de nombreux romans historiques et sagas exotiques, mais c’est sa série La Villa aux étoffes qui la propulse au rang d’autrice best-seller, aussi bien en Allemagne qu’à l’international. Tempêtes sur la villa aux étoffes est le cinquième tome de cette saga qui a déjà conquis près de 3 millions de lecteurs.
Dans l'Allemagne de 1913, dans l'apparat d'une grande somptueuse maison bourgeoise, maîtres et domestiques se croisent et se côtoient, partageant joies, drames, secrets et amours interdites.
La jeune orpheline Marie occupe le poste de femme de ménage dans l'imposante résidence de la famille industrielle Melzer. Alors que Marie cherche sa place parmi les domestiques, l’agitation règne lors de la saison du bal hivernal : Katharina, la belle et plus jeune fille des Melzers, doit être introduite en société lors de la saison du bal hivernal. Seul Paul, l'héritier de la famille, se tient à l'écart et préfère sa vie étudiante à Munich - jusqu'à ce qu'il rencontre Marie ...
Tandis que la guerre approche, petite et grande histoire se mêlent, palpitantes, pour nous plonger au cœur d'une saga inoubliable.
"Ambiance à la Downton Abbey, personnages attachants, et intrigue captivante..." - Maxi
Anne Jacobs a publié sous pseudonyme plusieurs romans historiques et sagas exotiques.
Sa série La Villa aux étoffes connaît un véritable succès en Allemagne et à l'international.
Augsbourg, 1920.
La guerre est finie et, après les difficultés et les privations, le bonheur a refait son apparition à la villa aux étoffes. Rentré de captivité, Paul Melzer a repris la tête de l’usine familiale. Avec l’aide de son associé Ernst von Klippstein, il la remet à flot et l’engage sur la voie de la modernité. Marie, de son côté, peut enfin se consacrer à sa véritable vocation et ouvrir un petit atelier de haute couture.
Il ne faut pas longtemps pour que ses merveilleuses créations connaissent un grand succès. Mais alors que son activité se développe, son mariage avec Paul commence à battre de l’aile. Après une ultime dispute, Marie quitte la villa avec leurs deux enfants. Le destin est en marche...
Entre secrets de famille et non-dits, une saga captivante où petite et grande histoire se mêlent, digne de Downton Abbey.
« UN ROMAN HISTORIQUE QUI SAISIT MAGNIFIQUEMENT L’ESPRIT DE CE DÉBUT DE XXe SIÈCLE. » Fränkische Nachrichten
Biographie de l'auteure :
Anne Jacobs écrit sous pseudonyme de nombreux romans historiques et sagas exotiques, mais c’est sa série La Villa aux étoffes qui la propulse au rang d’autrice best-seller, aussi bien en Allemagne qu’à l’international. L’Héritage de la villa aux étoffes est le troisième tome de cette saga qui a déjà conquis près de 3 millions de lecteurs.
Augsbourg 1916.
La villa aux étoffes est devenue un hôpital où les femmes de la famille aident les blessés. Marie est à présent mariée à Paul Melzer et gère l'usine de tissus. Mais lorsque ce dernier est fait prisonnier de guerre, l'avenir devient plus qu'incertain. L'élégant Ernst von Klippstein fait son apparition pour venir en aide à la jeune femme qui tient entre ses mains le destin des Melzer. De nouveaux drames attendent la famille en cette période de guerre et de doute.
Une saga inoubliable où se mêlent grande et petite histoire.
Anne Jacobs a publié sous pseudonyme plusieurs romans historiques et sagas exotiques.
Sa série La Villa aux étoffes connaît un véritable succès en Allemagne et à l'international.
Augsbourg, 1939.
Dans une Europe menacée par la guerre, la famille Melzer traverse une sombre période. Depuis l’arrivée de Hitler au pouvoir, Marie s’est exilée avec son fils à New York, et l’usine textile de Paul fait l’objet de convoitises nazies. Sans sa femme, qu’il soupçonne d’avoir refait sa vie aux États- Unis, Paul doit affronter seul ses inquiétudes et ses doutes, et prendre des décisions qui mettent en péril tout ce qu’ils ont bâti ensemble.
De l’autre côté de l’Atlantique, Marie est effrayée par les récits d’horreur qu’elle découvre chaque jour dans les journaux. Quand elle rentre à Augsbourg en 1945, après avoir perdu contact avec ses proches pendant la guerre, elle ignore tout de ce qui l’attend.
À l’image du conflit qui a dévasté son pays, les neuf années de séparation avec Paul ont laissé bien des traces. Alors que tout est à reconstruire dans une ville en ruines, parviendrontils à se retrouver ?
Entre espoirs brisés et rêves de lendemains, le dénouement saisissant de destins emportés par le tourbillon de l’histoire, digne de Downton Abbey.
« UNE FORMIDABLE SAGA FAMILIALE. » - Elle
Anne Jacobs écrit sous pseudonyme de nombreux romans historiques et sagas exotiques, mais c’est sa série La Villa aux étoffes qui la propulse au rang d’autrice best-seller, aussi bien en Allemagne qu’à l’international.
Les Adieux à la villa aux étoffes est le sixième et dernier tome de cette saga qui a déjà conquis près de 3 millions de lecteurs.
L'autrice de la série best-seller La Villa aux étoffes revient avec une nouvelle saga familiale captivante autour d'un café emblématique dans l'après-Seconde Guerre mondiale.
Wiesbaden, 1945. La jeune Hilde a du mal à croire à sa chance : la guerre est finie et le Café Engel a été miraculeusement sauvé. Hilde rêve de redonner à l'entreprise familiale le prestige qu'elle avait autrefois, quand ce café emblématique de la région réunissait artistes et personnalités influentes. Pour cela elle ne peut compter que sur elle-même, sa mère peinant à reprendre goût à la vie après la disparition de son père sur le front français.
Grâce au marché noir florissant, elle parvient à rouvrir le café, et les clients affluent. Des soldats américains comme des Fräuleins, ceux qui sont parvenus à garder leurs possessions pendant la guerre comme ceux qui ont tout perdu. Et contre toute attente, le père de Hilde est libéré et rentre chez lui. Mais, à peine retrouvée, la joie est de courte durée. Maintenant que son père est rentré, Hilde est reléguée à un rôle de serveuse. Et, lorsqu'une belle jeune femme réfugiée de Prusse orientale se présente au café comme sa cousine Luisa, c'est le coeur de tous les villageois qu'elle va conquérir. Y compris celui de l'amour de jeunesse de Hilde, le violoniste Fritz Bogner, revenu lui aussi d'un camp de prisonniers. Les deux rivales ont pourtant bien plus en commun qu'elles ne l'imaginent...
Traduit de l'allemand par Corinna Gepner
À propos de l'autrice
L'autrice a écrit sous pseudonyme de nombreux romans historiques et sagas familiales, et avec La Villa aux étoffes, paru sous celui d'Anne Jacobs, elle a été propulsée au rang d'écrivaine best-seller, aussi bien en Allemagne qu'à l'international.
Augsbourg, 1930.
Un vent de bonheur souffle sur la villa aux étoffes : le troisième enfant de Marie et Paul Melzer vient d’avoir quatre ans et le couple s’aime plus que jamais. Mais la crise économique qui se propage en Europe met en péril l’usine de textile. Et quand Paul tombe malade, c’est Marie qui doit une nouvelle fois sauver l’entreprise de la ruine.
Croulant sous des dettes qu’elle ne peut rembourser, elle doit faire un choix déchirant. Devra-t-elle se résoudre à vendre l’héritage familial, la demeure qui l’a accueillie et a vu naître ses enfants ?
Au cœur du tumulte des années 1930, une saga familiale captivante où petite et grande histoire se mêlent, digne de Downton Abbey.
Anne Jacobs a écrit sous pseudonyme de nombreux romans historiques et sagas exotiques, mais c’est sa série La Villa aux étoffes qui la propulse au rang d’autrice best-seller, aussi bien en Allemagne qu’à l’international. Retour à la villa aux étoffes est le quatrième tome de cette saga qui a déjà conquis plus de 3 millions de lecteurs.
Dans l'Allemagne de 1913, dans l'apparat d'une grande somptueuse maison bourgeoise, maîtres et domestiques se croisent et se côtoient, partageant joies, drames, secrets et amours interdites. La jeune orpheline Marie occupe le poste de femme de ménage dans l'imposante résidence de la famille industrielle Melzer.
Alors que Marie cherche sa place parmi les domestiques, l'agitation règne lors de la saison du bal hivernal : Katharina, la belle et plus jeune fille des Melzers, doit être introduite en société lors de la saison du bal hivernal. Seul Paul, l'héritier de la famille, se tient à l'écart et préfère sa vie étudiante à Munich - jusqu'à ce qu'il rencontre Marie ...
Tandis que la guerre approche, petite et grande histoire se mêlent, palpitantes, pour nous plonger au coeur d'une saga inoubliable.
Un spectre hante l'Université française : celui de la déconstruction. Créé par Jacques Derrida à la fin des années 1960, ce concept est devenu, dans l'esprit des réactionnaires de tout poil, le mot-valise désignant tout ce qu'ils haïssent dans la pensée, lorsque celle-ci cherche à émanciper davantage qu'à ordonner. Dégénérescence de la culture, mépris pour les grandes oeuvres, délire interprétatif, amphigouri linguistique, danger politique, confusion sexuelle, licence morale : à en croire les ennemis de la déconstruction, tout ce qui va mal dans le monde lui est imputable. Que signifie la fixation frénétique d'une frange d'intellectuels sur tout ce qui peut ressembler à une pensée différente, inventive et fondamentalement démocratique ? Que cela signifie-t-il, si ce n'est la volonté de policer la pensée et ses institutions, pour mieux, ensuite, policer les corps ? Telle est l'interrogation qui a présidé au colloque « Qui a peur de la déconstruction ? », qui s'est tenu à l'École normale supérieure et à la Sorbonne en janvier 2023. En voici les actes.
Le présent ouvrage rassemble les actes de la quatrième journée franco-belge de droit pénal, consacrée aux combattants européens en Syrie. Après une introduction décrivant le contexte du terrorisme islamiste, la problématique est d'abord abordée sous l'angle des analyses et actions de l'Union européenne et ensuite sous l'angle du droit des conflits armés. Il est enfin passé au crible du droit français et de ses dernières modifications ainsi que du droit belge, tant pénal que procédural.
Les contributions réunies dans le présent recueil portent sur la notion de résonance, considérée dans le cadre des impulsions et des mouvements qu'elle engendre mais aussi dans son aptitude à donner forme. L'art rend possible une mise en mouvement du corps pouvant paraître improbable, et comme en excès par rapport à ce qui se produit dans toutes les formes visibles. Ce phénomène concerne aussi bien le danseur que le musicien, le peintre, le dessinateur, l'acteur ou le poète. Mais le mouvement ici produit opère en deçà de la différence des arts. Dans le fait d'écouter, danser, écouter..., l'artiste est pris dans une résonance et s'y laisse "surprendre" jusqu'à être entraîné dans une mise en mouvement. C'est le temps de la création où danse et musique sont convoquées par le tiers médian du rythme. Prise dans son rapport à la résonance, la danse est directement liée à la voix et à ses musiques. En cela, elle indique le point d'émergence de l'intime de la création, dans sa dimension d'efficace. Encore convient-il de déterminer ce qui résonne en l'artiste, là où l'oeuvre s'origine au-delà de lui-même. Les textes recueillis ont été produits par des psychanalystes, des philosophes et des artistes ayant développé une réflexion interdisciplinaire en lien profond avec le concret de l'expérience artistique.
Comment en sommes-nous venus à célébrer le progrès tout en craignant la fin du monde? Nous n'en finissons plus de nous extasier devant nos avancées technologiques, devant l'expansion de notre ouverture d'esprit et, d'un même mouvement, nous ne cessons de faire le décompte des catastrophes écologiques, économiques et humanitaires qui nous accablent. Le présent dossier explore ces questions.