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Jim Harrison
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Pour reprendre le contrôle de sa vie, Dalva s'installe dans le ranch familial du Nebraska et se souvient : l'amour de Duane, les deuils, l'arrachement à ce fils nouveau-né qu'elle cherche obstinément. Meurtrie mais debout, elle découvre l'histoire de sa famille liée à celle du peuple sioux et d'une Amérique violente. Chef-d'oeuvre humaniste, Dalva est un hymne à la vie. "Le roman des grands espaces : la preuve, par la littérature, que l'on est ce que l'on fait. Une invitation à la sculpture de soi." François Busnel, L'ExpressTraduit de l'anglais (États-Unis) par Brice Matthieussent
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« Les trois longues nouvelles de Légendes d'automne occupent une place singulière dans l'oeuvre de Jim Harrison. Chacune d'elles a la dureté limpide et tranchante d'un cristal de roche arraché tel quel aux profondeurs de la psyché humaine. Jamais sans doute l'écrivain ne retrouva ensuite la pureté et la puissance de ces nouvelles compactes, marquées au sceau de l'excès et de la démesure. La vengeance est l'obsession de la première, la métamorphose le thème élégiaque de la deuxième, un destin tragique irrigue la dernière. Jamais non plus dans la production ultérieure, certes prolixe et généreuse de Jim Harrison, la folie, la mort, les carnages, les délires, l'errance et le vice, la cupidité et l'égoïsme, les aberrations du comportement et de l'Histoire ne s'entrelaceront avec autant de violence et de grâce aux beautés chatoyantes des êtres et du paysage américain. »
Brice Matthieussent -
Chien Brun, "personnage fétiche que l'on rencontre tout au long de l'oeuvre de Jim Harrison", était, pour ainsi dire, un alter ego fantasmé de l'auteur. "Fabulateur, frondeur, sorte de "lord Byron des femmes de petite vertu'', cet incorrigible anar - qui fait croire qu'il a du sang indien dans les veines - s'ingénie à rouler dans la farine les shérifs et les juges du Michigan, une contrée dont il connaît les moindres ruisseaux. Pas de toit, pas de numéro de Sécurité sociale, "né pour ne pas coopérer avec le monde'', Chien Brun ne possède qu'une vieille peau d'ours.
Et assez d'humanité pour attendrir les lecteurs."
André Clavel, Le Temps
Jim Harrison a écrit six histoires, entre 1990 et 2013, mettant en scène son célèbre Chien Brun. Les voici réunies pour la première fois en un seul volume, traduit et préfacé par Brice Matthieussent. -
Cuites, amour et dynamite, un amateur de pêche mélancolique, un ancien du Viêt-Nam et une jeune femme aux jambes interminables traversent l'Amérique des années soixante, unis par une " mission " folle et héroïque : faire sauter un barrage du Grand Canyon. Mais l'équipée sauvage de cet improbable trio va bientôt tourner à la gueule de bois carabinée ! " Véritable cow-boy de l'écriture, Jim Harrison nous arrive comme un don Quichotte d'outre-Atlantique qui réintroduit le plaisir d'une lecture simple mais fulgurante. "Le Monde Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Sara Oudin
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Dans ce roman choral où s'entrecroisent les parcours de Dalva et de ses proches, Jim Harrison exorcise sa hantise de la mort et brasse l'histoire de l'Amérique, depuis les guerres indiennes jusqu'à nos jours. Derrière cette fresque truculente et nostalgique, La Route du retour témoigne de l'amour de Big Jim pour ce pays aux horizons aussi grands que ses mythes." La Route du retour est un pur chef-d'oeuvre. Ambitieux, foudroyant. " Lire, Catherine Argand
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Cliff est à un tournant de sa vie. Plaqué par sa femme à soixante-deux ans, il décide de tout quitter et de prendre la route, à la recherche d'un nouveau souffle. Bientôt rejoint par Marybelle, une ancienne étudiante avec qui il vit une liaison enflammée, il poursuit son chemin au gré des obsessions américaines. Célèbre à l'envi la beauté des femmes, le désir et l'ivresse quand bien même le festin touche à sa fin. Traverse le pays de part en part, attribuant à chaque État le nom d'une tribu indienne. S'attire les foudres ou l'incompréhension de l'Amérique bien-pensante dans un pays qui n'est plus à un massacre près. Son voyage, ponctué de rencontres extravagantes et cocasses, lui apportera-t-il pour autant la renaissance tant recherchée ?
Une odyssée américaine est une oeuvre magistrale. Un portrait des États-Unis et une profession de foi en la littérature comme Jim Harrison n'en avait jamais livré. Un chef-d'oeuvre d'une profonde humanité. -
" Un roman magistral, le plus beau qu'ait écrit Big Jim, avec Dalva et La Route du retour. " L'Express
David Burkett, quatrième du nom, est l'héritier d'une famille lourde à porter, responsable du déboisage sauvage du Michigan. Entre une mère alcoolique et un père cynique, prédateur sexuel, David s'exile, en quête d'expiation. Dans le décor lyrique des grandes plaines, son parcours initiatique est marqué par la tragédie familiale et la beauté des femmes...Préface inédite de François Busnel. -
" Trois nouvelles. Des personnages qui n'ont rien de commun. Des copains de campus devenus sages volant au secours d'un des leurs dont l'engagement terroriste ne s'est pas élimé. Une femme mûre qui ne veut simplement que s'évader de sa vie pour en retrouver la source. Un grand diable d'homme des bois qui a retrouvé un chef indien en plongée et veut l'enterrer dans le cimetière caché de ses ancêtres dont une accorte ethnologue traque le passé à travers lui... Que ses personnages aient quitté les bois pour la civilisation, les nostalgies de jeunesse, les fidélités qu'on se doit à soi-même, Jim Harrison leur garde leur sève, leurs élans et écrit l'un des plus beaux livres depuis Légendes d'automne. " Cosmopolitan
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Entre formidable appétit pour la vie, amour de la nature, et mélancolie profonde, Jim harrison se livre dans une passionnante autobiographie.
Dans cette luxuriante autobiographie, Jim Harrison commence par le récit de son enfance. Mais plutôt que d'en distiller les détails, le grand romancier américain en retient surtout les images intenses, celles imprégnées de nourritures délicieuses, de feuilles fraîches et de bruits de rivière, car seule " la sensualité marque la mémoire ". Dès lors, l'écriture déroule un formidable et gargantuesque appétit pour la vie, mais aussi une mélancolie profonde dont Jim Harrison, comme tout hédoniste, n'est pas exempt. Mais le plus extraordinaire est encore dans cette folle déclaration d'amour adressée à la littérature. En marge, dans le fond, n'est traversé que par un seul récit : celui d'une vie vouée à l'écriture." Des coups de blues, des parties de rigolade, des plages de solitude, l'amitié, tels sont les ingrédients mélangés dans ce cocktail à boire cul sec : attention, il est très fort. À consommer sans modération. " Éric Neuhoff, Figaro Madame -
Instituteur dans une bourgade rurale du Nord-Michigan, Joseph coule des jours tranquilles dans la ferme de ses parents. Entre la chasse et la pêche, il partage ses nuits avec Rosalee, l'amie d'enfance, l'éternelle fiancée. Quand survient Catherine, une de ses élèves, âgée de dix-sept ans et très affranchie, déterminée à bouleverser le cours des choses... Sur un thème presque banal, Harrison a composé le plus simple mais aussi le plus beau de tous ses romans.traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Sara Oudin
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Tout à fait lyrique, émouvant et rabelaisien, le héros de ce livre fait partie des paumés de génie. Entrer dans l'univers de Sorcier, partager ses émotions, son combat conjugal, ses mésaventures d'apprenti privé, c'est retrouver le plaisir des lectures littéralement revigorantes. " Face à toutes les noirceurs qui assaillent la littérature, la lecture de Jim Harrison est une jouvence épatante. Un cadeau du ciel. Il ne faut pas s'en priver. " André Clavel, L'Express Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Serge Lentz
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Bordée par les Grands Lacs, la péninsule Nord est un pays aux forêts profondes et au climat rigoureux. Métis chipewa-finnois, Donald y a toujours vécu. Lorsqu'à quarante-cinq ans, il se sait condamné par la maladie, il entreprend de dicter à sa femme son histoire et celle de sa famille, des existences simples et dignes, teintées de spiritualité. Avec son sens incomparable du détail, Jim Harrison poursuit son examen des rapports étroits qu'entretient l'homme avec la Nature. Dans la vie, la mort et au-delà... " Un roman déchirant mais fabuleusement charnel, où se mêlent la sensibilité et la mort, les tourments des coeurs et les jouvences de la vie sauvage. Comme si cet office des ténèbres se transformait peu à peu en un hymne à la joie sous les caresses du vent. " André Clavel, L'Express
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" L'oeuvre de Jim Harrison danse, galope, tangue vers le large, embrasse l'infini d'un continent sans limites. Julip rassemble trois récits. Avec Chien Brun, d'abord, qui continue à crapahuter vers d'introuvables chimères en nous servant une nouvelle rasade de confessions impudiques, avec Philip Caulkins, un prof de 50 ans qui a le tort d'aimer Ezra Pound et qui sera chassé de son université. La troisième nouvelle raconte la pitoyable odyssée d'une délurée de 20 ans, Julip, qui trimbale son "joli morceau de cul" de bars en motels, cette Zazie aux semelles de vent ne semble pas avoir d'autres pénates que son vieux break Subaru.
Né sous le signe du coyote, Jim Harrison ne s'apprivoise pas. Par ces temps de sieste prolongée, il nous remet debout et nous offre bien plus qu'une tranche d'exotisme : une cure de sauvagerie."André Clavel, L'Express -
Vifs, sensuels, lumineux, les souvenirs coulent entre les arbres et les pierres, enfiévrant le coeur des montagnes d'Huron. Swanson, vagabond littéraire perdu en pleine forêt, reconstitue par bribes celui qu'il fut, amateur de whisky, de jolies serveuses et d'Arthur Rimbaud... À l'orée des bois et de la vie, la poésie surgit, simple et profonde. " On ressort pantelant de ces Mémoires fictifs... Jim Harrison écrit au corps-à-corps. Il empoigne les mots avec la même rage que met son héros à saisir un cran d'arrêt. "Télérama Traduit de l'anglais (États-Unis) par Marie-Hélène Dumas
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Dans ce dernier livre publié moins d'un mois avant sa mort, Jim Harrison a choisi de poursuivre ses mémoires sous la forme d'un texte à la troisième personne pour « échapper à l'illusion de réalité propre à l'autobiographie ».
Souvenirs d'enfance, découverte de la poésie, mariage, amour de la nature, célébration des plaisirs de la chair et de la table, alcools et paradis artificiels, Jim Harrison tisse le roman d'une vie.
Véritable testament littéraire, Le Vieux Saltimbanque est à l'image de Big Jim : plus libre et provocateur que jamais, plus touchant aussi, en marge de toutes les conventions. -
Trois novellas. Plusieurs voix : désabusées, conquérantes ou gloutonnes, à l'image même d'Harrison. Chien Brun, d'abord, l'Indien bambocheur du Michigan, qui va devoir composer entre détresse charnelle et blessures de l'âme. La faute à qui ? Trois épouses républicaines très BCBG prêtes à en découdre... Last but not least, Big Jim lui-même, dans une variation autobiographique émouvante et poétique." L'été où il faillit mourir met en scène trois univers totalement différents, dont l'un, Épouses républicaines, est la preuve que Jim Harrison est capable de tout, même d'être une femme ! Totalement enthousiasmant. " Olivia de Lamberterie, Elle
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Trois nouvelles de l'auteur américain, Jim Harrison : En route vers l'Ouest, La bête que Dieu oublia d'inventer, J'ai ouiblié d'aller en Espagne. Avec une préface de François Busnel.
" Trois grandes nouvelles, dont l'un nous rend le mythique Chien Brun, rappellent, deux ans après La Route du retour, la puissance de l'un des plus grands écrivains américains d'aujourd'hui. " Annie Coppermann - Les Echos " Rendez-vous du côté du lac Supérieur, puis sur les ramblas de Barcelone en compagnie de personnages en rupture de ban, des vagabonds qui, de l'ironie et du détachement, ont fait un art de vivre. Leur fréquentation est hautement recommandée. " André Clavel, L'Express -
On ne présente plus Jim Harrison, écorché vif dans un corps de grizzly des montagnes, l'un des plus grands écrivains américains contemporains. On connaît moins le Jim Harrison poète. C'est chose faite grâce à ce recueil réunissant des poèmes inédits écrits entre 1965 et 2010, dans lequel Harrison, poète contemplatif à la fois mélancolique et brutal, se fait le chantre vagabond et universel de l'Amérique profonde et des vastes étendues sauvages. Dans Une heure de jour en moins, Jim Harrison, plus virtuose et truculent que jamais, joue avec les formes, les influences et les cultures, rendant au passage un vibrant hommage à ses maîtres, Antonio Machado, René Char et César Vallejo.
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Ce sont là les toutes dernières nouvelles écrites par Jim Harrison.
Avec Les OEufs , Jim Harrison se glisse dans la peau d'une femme isolée dans une ferme du Montana, pourtant bien résolue à avoir un enfant.
Le-Chien est la dernière aventure du célèbre Chien Brun, son héros favori qui se revendique de sang-mêlé, force de la nature, hypersexuel, frondeur et insolent.
L'Affaire des Bouddhas hurleurs met en scène l'ancien inspecteur Sunderson. Fidèle à son personnage de vieux sage au goût immodéré pour la pêche, la chasse, l'alcool et les jolies femmes, Sunderson ne résiste pas aux avances d'une jeune fille un peu trop délurée. La fin tragique de son double littéraire sonne comme un adieu du maître au sommet de son art. -
Le nouveau livre de Jim Harrison met en scène deux hommes aux prises avec l'amour, le désir, et toutes les contrariétés qui vont avec, tandis qu'en toile de fond la ville gangrène peu à peu la nature.
Clive, historien de l'art distingué mais artiste raté, revient à contrecoeur dans la ferme familiale du Michigan pour s'occuper de sa mère. Et pourtant, à soixante ans, ce retour dans sa maison d'enfance va lui offrir une vraie cure de jouvence. Sur les bords du lac Michigan, Thad vit quant à lui dans une ferme isolée.
Confronté à l'injustice et au difficile passage à l'âge adulte, il se prépare à traverser le lac pour rejoindre Chicago. C'est le début d'un long périple et d'un apprentissage décisif pour ce jeune homme jusqu'alors plus à l'aise dans l'eau et les rêves que sur la terre ferme.
Écrit avec la verve de ses meilleurs romans, Nageur de rivière nous rappelle brillamment le talent et la profonde humanité de Jim Harrison. -
" Jim Harrison est un écrivain qui porte l'immortalité en lui. " The Times Wolf Un séjour en forêt, des souvenirs d'enfance qui obsèdent, et une dérive à travers les Etats-Unis composent la trame complexe du récit de Swanson, vagabond littéraire habitué des hôtels à deux dollars, amateur pêle-mêle de sauternes et de whisky, de jolies serveuses de coffee-shop, d'Arthur Miller et d'Arthur Rimbaud...
Retour en terre Donald, un métis chipewa-finnois de la péninsule nord du Michigan, souffre d'une sclérose en plaques. Pendant ses derniers jours de répit, il dicte à sa femme, Cynthia, une longue confession pour transmettre à ses enfants l'histoire de sa famille. L'occasion pour lui de retrouver son héritage chippewa, ainsi que de renouer avec la spiritualité de ses ancêtres. A ses côtés, sa famille l'accompagne pour son dernier voyage qu'il vit avec dignité. Pendant la nuit qui suit la mort de Donald, ses proches cherchent un sens à ce deuil cruel. Avec une extrême finesse et les mots justes, Big Jim sonde les profondeurs de la mort mêlée à la sensualité de la vie sauvage. Un requiem bouleversant qui se transforme en hymne à la vie.
PRESSE :
Wolf :
" On ressort pantelant de ces Mémoires fictifs... Jim Harrison écrit au corps à corps. Il empoigne les mots avec la même rage que met son héros à saisir un cran d'arrêt. "
Télérama " Le miracle d'une écriture vigoureuse. " Alfred Eibel,
Le Quotidien de ParisRetour en terre :
" Ces mots sont sans doute un autoportrait de Jim Harrison, qui signe un roman déchirant mais fabuleusement charnel, où se mêlent la sensibilité et la mort, les tourments des coeurs et les jouvences de la vie sauvage. " André Clavel,
L'Express " Un récit où le deuil et la sensualité, les ténèbres et la lumière, la terre des vivants et celle des gisants se mêlent dans la même musique, un oratorio d'outre-tombe où Big Jim explore les mystères de l'au-delà en chantant l'ici-bas. "
Lire -
À la suite de son enquête sur le Grand Maître, l'inspecteur Sunderson, désormais à la retraite, n'aspire qu'à se mettre au vert dans un bungalow du Nord Michigan. Aussitôt installé, il découvre que ses voisins, la famille Ames, sèment la terreur dans toute la région. Les autorités locales avouent leur impuissance face à ce clan qui vit en dehors des lois et commet les crimes les plus crapuleux. Quand une série de meurtres éclate en pleine saison de pêche à la truite, Sunderson est contraint de reprendre du service.Dans Péchés capitaux, Jim Harrison joue ouvertement avec les codes du roman noir et dresse un portrait grinçant de l'Amérique profonde, gangrenée par la violence, où le sexe est plus jouissif et envahissant que jamais.
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Sur le point de prendre sa retraite au terme d'une longue carrière dans la police du Michigan, l'inspecteur Sunderson enquête sur une secte hédoniste qui a pris ses quartiers à quelques kilomètres de chez lui. Simple hurluberlu inoffensif au premier abord, le gourou se fait appeler Grand Maître. Au fil de leurs recherches Sunderson et son improbable acolyte de seize ans, Mona, découvrent un personnage bien plus sinistre qu'il n'y paraît. Lui-même poursuivi par ses propres démons, imbibé d'alcool et obsédé par les femmes, Sunderson traque sa proie des bois du Michigan jusqu'à une petite ville d'Arizona qui fourmille de criminels transfrontaliers avant d'atterrir dans le Nebraska, où les adeptes du Grand Maître espèrent s'établir pour de bon. Un chef-d'oeuvre tragicomique, étincelant d'humour et de désespoir.
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Dans la veine de ses plus grandes nouvelles, Jim Harrison tisse trois destins solitaires, trois personnages tragiques en quête de rédemption qui évoluent dans l'Amérique idéale de l'écrivain, aux habitants aussi rudes que les saisons du Montana.
On découvre Sarah, une adolescente qui cherche à assouvir un désir de vengeance irrépressible après l'agression dont elle a été victime à l'âge de quinze ans. On retrouve avec délectation Chien Brun, à la recherche de l'âme soeur. Et enfin un loup-garou en proie à de terribles accès de violence les soirs de pleine lune.
Les Jeux de la nuit, recueil de nouvelles le plus ambitieux et le plus saisissant de Jim Harrison depuis Légendes d'automne, dépeint de manière inoubliable trois vies américaines hors du commun. Avec humour, émotion et une profonde humanité, Harrison justifie une fois de plus son statut de maître de la littérature américaine.